lundi 22 février 2016

Pourquoi j'ai signé ...

la pétition pour une "Primaire des gauches et des écologistes" ?

Pas vraiment pour les initiateurs de la pétition, ni Christiane Taubira d'ailleurs. En soi, une primaire pour choisir une personne (une Personnalité) ne m'intéresse pas. Mais, je ne voudrais pas me retrouver dans la situation de 2002, avec le choix entre une mauvaise solution et une solution inacceptable. A l'époque, au 2ème tour, j'ai failli voter blanc.

Cela dit, une primaire, à mon sens, n'a d'intérêt que si elle permet de dégager une plate-forme d'objectifs (politiques, sociaux, économiques, environnementaux, etc.) crédible* et acceptée par suffisamment de gens et d'organisations pour être présente au 2ème tour de la présidentielle de 2017.

François Hollande vient de déclarer : "Je peux ne pas être candidat, je peux être candidat"**. C'est un argument de plus pour préparer dès maintenant une primaire des gauches pour qu'elle se tienne dans de bonnes conditions le moment venu.

Quant à Mélenchon, je ne vois pas ce que sa candidature, maintenant, a de positif ? A mon sens, il y a une contradiction entre la critique des institutions de la Vème République - notamment les rôles du président et de son élection directe - et une candidature individuelle qui va créer un débat secondaire sur le risque d'un effacement des gauches dès le premier tour. J'ai peur que la majorité des gens que je vois ici, à la Flèche, ne se sentent pas concernés. Le seul intérêt de ce type de candidature serait de créer une alternative pour les votes protestataires ? Sans un réseau dense de militants***, je crois qu'il est illusoire de vouloir combattre le rouleau compresseur médiatique.

*) dans son temps, j'ai milité pour le "Programme commun de la Gauche". Avec le recul, je pense que la majorité des Français, y compris la "classe ouvrière", ne souhaitait pas sa mise en oeuvre.
**) Le Monde, du 21/22 février 2016, compte-rendu de l'émission "Le téléphone sonne" sur France-Inter du 16 février.
***) comme celui du PCF jusqu'à la fin des années 70.

vendredi 1 janvier 2016

Nouvel an réparateur

Vive 2016 ... en tout cas les premières heures.

J'ai voulu voir comment associer Facebook et mon blog et je suis retombé sur le problème que j'évoquais dans un post précédent de l'affichage incongru des photos de sculptures.
Après quelques essais et recherches j'ai trouvé une solution : recréer le "widget" et effacer celui qui ne fonctionnait plus.

Cela étant je n'ai pas encore bien mesuré les avantages / inconvénients du blog par rapport à Facebook.

dimanche 27 septembre 2015

La Corse

... en septembre.

Départ de Marseille, en ferry, jusqu'à Propriano. Le jour de l'arrivée - tôt vers 7h du matin - nous avons commencé par aller à Bonifacio. Petit déjeuner sur le port, impossible de se garer dans le centre ville. Ensuite, la route jusqu'à Palombaggia - une plage à proximité de Porto Vecchio, destination finale. L'après-midi nous avons rejoint l'hôtel situé à 5 minutes à pied du centre.

Il parait que nous avons bénéficié d'un temps particulièrement chaud pour cette période. Mais, cela pourrait être lié au réchauffement climatique. Au début les 15 et 16, la température dépassait allègrement les 32/34 dans la journée et ne descendait pas en-dessous de 20 la nuit. Donc, un peu trop chaud pour la promenade mais parfait pour la baignade avec une mer à 24 et plus.

Nous avons testé les plages de :
  • Palombaggia (2 fois) - longue, belle, peuplée et ... chère ;
  • Saint Cyprien. Pas mal, mais déception dans une paillote où nous avons attendu plus d'une heure pour apprendre que les cuisiniers nous avaient "oublié" ;
  • Cala Rossa, très bien aussi, mais coupée par des amas rocheux compliquant la marche ;
  • Pinarello (2 fois). Assez longue, plus abritée des vents que les autres et pratiquement lagunaire (comme dans certaines plages de Martinique), bordée de pins et moins fréquentée (peut-être parce que la saison avançant, il y avait moins de monde ?). Seul défaut : une invasion de guêpes, par dizaines, dans la paillote où Roselyne avait commandé des moules. Le lendemain nous n'avons pas mangé sur cette plage.
Notre plage préférée ... avant l'invasion des guêpes.


Nous sommes allés voir les "piscines naturelles" de la rivière du Cavu. Très beau ... mais beaucoup trop sportif pour nos moyens.


Les piscines sont en amont.

Nous avons traversé la forêt de l'Ospédale, jusqu'à Zonza. Au retour, vue magnifique sur le sud-est de la Corse et la côte de la Sardaigne.


La qualité de la vidéo est très moyenne ... il y avait de la brume et je ne suis toujours pas expert !

Nous avons déambulé - avec le scooter électrique - et mangé dans le centre de Porto Vecchio. Puis, nos amis, les O. de Saint-Maur, sont arrivés et se sont installés à quelques kilomètres, près de Piccovaggia. Le séjour s'est alors transformé - un peu - en stage de Bridge.

La vue depuis la résidence de nos amis O. au moment où repart le ferry de la SNCM.


Finalement, nous aurions pu faire l'aller-retour avec ce bateau !

vendredi 21 août 2015

Petit souci

... technique, avec le fonctionnement du "gadget" qui affiche les photos de mes sculptures enregistrées dans un album Picasa.

Le titre du "gadget" s'affiche bien à droite ... mais les photos apparaissent dans le coin supérieur gauche et cachent en partie le haut du blog et du dernier article publié.

J'ai essayé de déplacer le gadget, de le mettre à jour, de modifier l'album, pour le moment je n'ai pas trouvé la solution.

Par ailleurs, et ça n'a rien à voir avec ce qui précède, j'ai décidé de signer mes articles. Il y a suffisamment de temps que j'ai quitté l'administration et la vie active !

samedi 2 novembre 2013

Vieille histoire de lazure

Vieille ... parce que ça s'est passé fin juin - début juillet. Tout d'abord, nous avons fait installer un petit abri de jardin et un abri de voiture.

Il nous revenait de lazurer les structures en bois. Nous avons fait ce qui était à notre portée, y compris avec une échelle que nous avons achetée à l'occasion. Mais il restait la structure haute de l'abri de voiture ... alors Super Lulu est arrivée avec son harnais d'escalade.

Au premier plan : l'abri de voiture, sur la droite on aperçoit le toit de l'abri de jardin.

L'athlète à l'oeuvre, sans filet ... mais avec son harnais.



Si on regarde bien, on voit l'athlète en plein sourire.


vendredi 14 juin 2013

Histoire de voiture ... suite

Les ennuis ont commencé dès le début du voyage.

Arrivés à quelques kilomètres après Baugé, un voyant s'est allumé : problème de pré-chauffage ou d'eau dans le gazole ! Nous appelons le garage qui nous demande de revenir en nous promettant de trouver une solution : soit une réparation expresse, soit un changement de véhicule. Pendant le retour nous avons envisagé d'abandonner le prêt et de prendre la twingo, mais il aurait fallu abandonner le scooter de Mamie.

Finalement retour au garage. Après quelques minutes, le directeur nous dit que la voiture est effectivement en panne (problème d'injection d'après ce qu'a entendu Mamie), il nous prète une autre voiture, une Mégane "normale" qui était proposée à la vente en occasion. Elle a tout de même plus de 100 000 km au compteur. Transfert des bagages et du scooter : tout tient. Mise à jour du contrat d'assurance, ça demande quelques dizaines de minutes supplémentaires.

Au final, au lieu de partir à 8h15, nous partons vers 11h.

Ensuite ... les incidents se sont poursuivis toute la journée :
  • autoroute coupée un peu avant Tours, pour un exercice grandeur nature d'un très grave accident ;
  • chantiers tout le long du trajet, au moins cinq, avec à chaque fois des ralentissements ;
  • erreur de parcours trente km avant Saint-Etienne : une nouvelle autoroute est ouverte conduisant vers le nord de Lyon, mais il n'y a pas vraiment d'indications précises, seulement le choix entre Saint-Etienne et Lyon. Au bout de quelques km je me rends compte que nous n'allons pas vers la A7 au sud de Lyon, donc demi-tour ... dès que possible, et perte de 30 minutes au moins ;
  • nous sommes sur le "périphérique" de Saint-Etienne vers 18h ... en plein bouchon : c'est la sortie du travail ;
  • enfin, la pluie très souvent, parfois très violente, jusqu'à Tain L'Hermitage.
Nous sommes arrivés à 21h, au lieu de 17h, initialement espéré.

mercredi 12 juin 2013

Histoire de voiture

Tout d'abord, il faut savoir que nous nous sommes mis au bridge de manière assez intensive : tournois de régularité, "master du roi René" et "trophée du voyage", tournois régionaux par quatre et cours.
Donc, nous avons accepté avec plaisir l'idée de faire un stage en juin (ce samedi, maintenant) avec les O., amis de longue date, à Ramatuelle.

En mars, illumination : avec une voiture adaptée, nous pourrions emmener le scooter de Mamie. Je passe à l'agence Renault où un vendeur me garantit que nous pourrions avoir une "Clio Estate" d'ici la fin mai.
Mamie est rapidement convaincue que c'est une bonne idée et nous retournons ensemble à l'agence pour passer commande.

Alors, ça commence à se dégrader : la voiture ne serait disponible que fin juin, voire juillet. Aucun intérêt pour partir mi-juin ! Le vendeur, après consultation du directeur de l'agence nous promet le prêt d'un véhicule adapté (probablement une Renault Scenic), finalement nous acceptons ce compromis qui figure au contrat.

La semaine dernière, après confirmation que le véhicule commandé ne sera pas livré avant le 18 juin alors que nous devons partir le 13, le stage commençant le 15, je repasse à l'agence pour confirmer le prêt et voir ce qu'il faut prévoir, notamment pour l'assurance. Pas de problème ! Il suffit d'appeler l'assureur le jour du prêt. Hier, chez l'assureur, confirmation : on aura un contrat provisoire avec le véhicule prêté, ensuite ce contrat sera transformé pour le véhicule définitif.

Donc ce matin, après avoir déposé Gamin dans sa colonie de vacances, nous arrivons à l'agence. D'un seul coup tout se complique : "nous avions compris que vous vouliez une voiture pour des déplacements locaux sur un à deux jours, on ne peut pas vous prêter une voiture pour dix jours et que vous alliez dans le sud de la France". Je réponds que dans ces conditions je ne suis plus intéressé par l'achat de la Clio et que je suis prêt à annuler la commande. Sur ce mes interlocuteurs appellent le commercial qui navigue entre Le mans et La Flèche. Ils reviennent, me disant que ce dernier va trouver une solution ...

Nous rentrons et vers midi, le directeur de l'agence appelle : il nous propose une Kangoo qui sera prête à 17h. La secrétaire doit me rappeler à 14h pour nous donner l'immatriculation.
A 14h15, j'appelle l'agence et on me donne l'immatriculation. Ensuite, Mamie a passé près d'une heure au téléphone entre l'assurance* et l'agence pour régler ce qui avait été convenu la veille. A chaque appel à l'assurance, elle avait un interlocuteur différent et devait recommencer sa demande et ses explications.
Tout était réglé vers 15h30 ... sauf le mél de confirmation de l'assurance qui a nécessité encore un appel pour être effectivement envoyé.

Ce soir la Kangoo est enfin chargée ... la suite dans quelques jours.

*) après l'immat, il a fallu fournir la puissance fiscale, puis la date de première mise en service, puis le nombre de portes (4 ou 5) ! Une demande d'info à la fois et, donc, autant d'aller-retours entre les deux interlocuteurs. L'administration publique n'a pas le monopole de la bureaucratie.